Cette semaine a été plutôt surprenante pour une seconde moitié d'octobre.

Les températures sont descendues sous "les 0 degrés" et l'humidité a permis de faire du jardin un lieu différent.

L'herbe de la "pelouse" s'est enveloppée dans un manteau de givre, 

aussi, les framboisiers et une salade restée en place pour la beauté de ses feuilles .

Les Dahlias ainsi que les Physalis (en deuxième plan) n'aiment pas les températures négatives.

Quant a lui, l'Albizia sera protégé contres les froidures, par de la paille.

Il est temps aussi de rentrer le matériel avant qu'il ne trépasse en prenant des formes disproportionnées et qu'il ne devienne inutilisable.

Nous, on a trouvé de quoi hiberner sans craindre les frimas de l'hiver 

Un peu de divertissement ne nuit pas !

Souvent, il lui est posé la question :

" Mais comment fais-tu pour retenir le nom de toutes ces plantes ?  "

C'est facile il suffit de les noter. Et quoi de mieux qu'une étiquette pour marquer les noms.

Mais il y a étiquettes et étiquettes, et puis il y a aussi le prix.

Pourquoi dépenser une somme folle, pour trois étiquettes ?

Voici comment faire des étiquettes pour quelques centimes d'euro .

D'abord, il vous faut un store vénitien à fines lamelles en plastique, comme celui-ci.

Acheté 50 centimes dans un vide grenier, il fera très bien l'affaire.

Ensuite, vous coupez les ficelles afin de libérer les lamelles.

Puis vous sectionnez les lamelles en trois ou quatre, suivant la taille que vous désirez.

Il ne reste plus qu'à tailler le bout en pointe et d'écrire dessus le nom de votre plante.

ainsi pour une somme modique, vous avez vos étiquettes

et imaginez, le nombre d'étiquettes que vous pouvez faire avec un seul store vénitien !

En cette période de rentrée des classes, nous allons donc réviser, nos mathématiques et en particulier nos tables de calcul.

Mais non !, je plaisante !

Bien qu'il soit question ici, de multiplication.

Afin d'avoir, à moindre frais, des plantes neuves il suffit de les reproduire par bouture.

Ce qui fut fait pour les Santolines et le Solanum.

Une autre plante qu'on lui a donnée est le HOYA.

Il s'essaye à faire des boutures, on verra bien, qui ne risque rien n'a rien !

je sais, on ne voit pas grand chose, mais sachez qu'il a coupé les grosses bouteilles d'eau à moitié de leur hauteur, sans tout couper, afin de garder une "charnière".

  Cela lui fait de jolies petites serres qu'il garde à l'abri du soleil, pour ne pas voir ses boutures grillées par la chaleur.

Le jardin étant déja bien fourni, peu de plantes seront  renouvelées cette année, du moins cet automne.

L'hiver fera peu*-être des changements, qui sait .

Un titre un peu spécial pour un blog sur le jardin, et pourtant, il s'agit bien de "dissection", aujourd'hui.

Il vous avait déjà montré un opuntia en fleur tel que celui-ci,

et les fruits qu'il produit,

Les fruits rouges, ce sont ceux de l'année dernière, qu'il a laissés mûrir.

Les verts sont ceux de cette année après que la fleur ait fané.

la récolte n'est pas exceptionnelle vu qu'il n'y a qu'un pied.

L'envie d'en faire de la confiture, l'a poussé à voir ce qu'il y a à l'intérieur.

C'est rempli de graines et peu de pulpe.

Mais l'envie est trop tentante et la confiture aura droit.

Après avoir fait cuire les fruits et séparé la pulpe des graines,

il ne reste plus qu'à ajouter le sucre spécial confiture et laisser cuire 3 minutes, mettre en pot et laisser refroidir.

Qui est tenté par une dégustation ?

Les congés d'été sont arrivés.

Et comme tous les ans, les travaux ont pris la bonne habitude d'arriver en même temps.

Et depuis un bout de temps, il y avait un truc pas très pratique au sous sol et qui prenait une place plus que nécessaire.

Je veux parler de ce bac à laver .

Certains diront que c'est un monument, une antiquité, certes, mais, même mis en vente sur "internet", personne n'en veut !

Il fallait donc quelque chose de plus pratique, de plus usuel.

Il fut alors retiré de son socle.

et mis de côté pour une utilisation autre que celle dévolue à sa fabrication.

Puis, une fois le socle (qui servait de bac de décantation) détruit, il fallut faire une base,

pour recevoir les parpaings de maintien du nouveau réceptacle.

Evidemment, une fois les parpaings montés (sans plan), par où le tuyau d'évacuation va t-il passer?

Et bien par le trou, fait délicatement dans le parpaing, le lendemain.

Puis, vint le tour d'installer l'évier de récupération

Bien sûr , il n'est pas neuf mais beaucoup plus pratique que l'ancien bac à laver !

Un jour peut être, les murs se verront recouvrir de faïence récupérée, qui est en stock sous l'escalier.

Des étagères ont aussi élu domicile dans une autre pièce du sous sol, en prévision du rangement des accessoires de jardin ainsi que des plantes qui ne peuvent rester dehors l'hiver.